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Publié : 16 février 2010, 10:30
par Kaay - Rat Inn
Il me parait un peu vieux pour avoir été embauché par un constructeur automobile :-k

Publié : 16 février 2010, 10:59
par Nolendil
La vieillesse, c'est dans la tête ;)

Publié : 16 février 2010, 11:00
par Kaay - Rat Inn
Cépafô :-k, surtout quand on est jeune ;)

Publié : 16 février 2010, 11:03
par Saldar Adpetus
En même temps ca n'aide pas a se faire engager par un constructeur automobile, même pour essayer d'assembler la Ford T avant qu'elle ne soit disponible.

Publié : 16 février 2010, 11:07
par Karleinzroumenigheu
Ahem: lui aussi dans la rue il s'amuse... :>

Publié : 16 février 2010, 11:25
par Nolendil
Et eux, ils s'amusent avec des cornemuses.

Publié : 16 février 2010, 12:19
par Saldar Adpetus
Georges Brassens.

Publié : 16 février 2010, 12:32
par Nolendil
Ca a l'air de coller. GG !

Publié : 16 février 2010, 18:36
par Trankill
ça colle pour Renault dans sa jeunesse, après Jacques et François, et la rue sa muse, faut expliquer :p

Un autre indice ? :p

Publié : 17 février 2010, 00:28
par Nolendil
Pour Jacques, y'a le choix :
En 1951, Brassens rencontre Jacques Grello, chansonnier et pilier du Caveau de la République qui, après avoir écouté Brassens, lui offre sa propre guitare et lui conseille, plutôt que du piano, de s’accompagner sur scène avec cet instrument. Ainsi « armé », il l'introduit dans divers cabarets pour qu'il soit auditionné.
Quand Patachou parle de sa découverte, elle ne manque pas de piquer la curiosité du dirigeant du théâtre des 3 Baudets, Jacques Canetti, également directeur artistique chez Philips. Le 9 mars 1952, il se rend au cabaret « Chez Patachou », écouter le protégé de la chanteuse. Emballé, il convainc le président de Philips de lui signer un contrat.
D'avril à novembre, 9 chansons sortiront sur disques 78 tours. L'une d'elles, Le Parapluie, est remarquée par le réalisateur Jacques Becker qui l'utilise pour son film Rue de l'Estrapade. Éditée sur disque, en même temps que la sortie du film en salle, elle est distinguée par l’Académie Charles-Cros l’année suivante en obtenant le Grand Prix du disque 1954.
... et d'autres moins pertinents.

Par contre, je ne vois pas pour Françoise.